Monachi duo ex Scriptura Sa- q cra, ex Patribus, et ex Concilio- d rum Decretis Sententias delege- el runt Stepelinus et Rodulfus Ci quorum exemplo, Petrus Lom- d bardus et Gratianus célèbres d Collectiones institueront- Eximid U summèque brevi et facili disci- d plinâ Rodulfus intra annum F pueros vix Musam declinare r sciolos, non tam dictamen, c quàm mctrum quoque compo- c nere docuit. Rerum multarum P varietate districttis atque tur- ’< barum undis fluctuons, plures l edidit lucubrationes prirnum e illius opus, m qito toti siimus C fiic ̃ Chronicon asscritur S. Tru- q donis, iri Libros Xlll dirisum. t Inter probatos sui temporis et I optimx not.v Historicos nume- 1 randus certè Rodulfus, qui mule ( ne sincère nec studio partium c mdulgcns, facta describit ele- I ganti stilo. Rrpcritur cjus Chro- I nicon apud Aclicriimi in Spicil. [ loin. Il in fol. undr, quw ad t rem nos tram utilia credimus i (resta A(h’ardi I Abbntis S. 1 Trudonis, ejusque cuni Episcopo Metensi T/woderico contenlionçs, in C’pllcctione nostra transi-rip. simus facerptum protendentés usqnc ad rnortem Adelurdi ll} ad annum scilicet 1082. ,.x LUI. Pertinct ad lies f-’ranciras llhtoria t’omit uni Elandrin’ flaruioni.v et Brahantiiv eorum ergo qui seen/o .1 vLrrrnnt, non imrnrritô (îrnealogiam cj"seripfimus ex fuie breri.it inut s<ripto, quod ndgarit Arheriux ad çolrrin Chronici S. Mi dard i Sftcssioncnsis. m- LIV. Âlbini Ande^arcnsis in- in r> ? ls cm m Angham crocato Sc/iolas uel succès on y étudioit. Deux ̃ e ces sçavans Religieux Slépelin ̃ t Rodulfe, travaillèrent à un R,e- iH ueil de Sentences choisies, tirées H e l’Ecriture Sainte, des Pères et ̃ es Canons de Conciles, qui fraya ̃ t voie aux fameuses Collections H le Pierre Lombard et de Gratien. ̃ Lodulfe avoit une méthode admi- ’̃ able pour enseigner elle étoit si ̃ ourte et si facile, que dans le H ours d’une année, des enfans à ^M eine instruits des premiers principes H ’e la Grammaire, devenoient sou ; ^M ui capables de composer en vers et ^M n prose. Pendant une vie fort oc- H
- ui)ée et agitée de troubles fré- H
[uens Rodulfe trouva le temps H le composer plusieurs Ouvrages. ̃ ’je premier, et 1e seul qui fasse ici H ’objet de notre attention, est la H Chronique de S. Tron, composée H le trcize Livres. L’amour du vrai H ’exactitude l’élégance du style H néritent à l’Ecrivain une place dis- 9 iuguée entre tes bons Historiens H le son siecle. On trouve sa Chro- ^Ê lique dans le Spicilege de nom H Luc d’Aclieri Tome 11 in fol. H L’Histoire d’Adelard 1 Abbé de fl 5. Tron ses démêlés avec Thierri ^M Evèque de Metz nous ont paru ^M issez interessaus |K)ur mériter ^M irentrer’ dans notre Collection. ^M L’Extrait «lue nous donnons s’é- H tend jusqu’à la mort d’Adelard II H en 1082. I LUI. Connue l’Histoire des H Comtes de Flandres de Hainaut H et de Brabant n’est point ctran- H gère- à notre Collection nous ^Ê avons cru devoir extraire de cet ^| écrit |)iiblié par Oom d’ Vcheri à H la suite de la Chronique de S. ^Ê Médard de Sois.sons quelc|ues ^M lignes de leur (iénéalogie rela- H tives au siècle qui nous occu|h ^| Ll Henri, <jui a travail !»’- ’i H illustrer l’Histoire d’Angleterre, H
