Regio, nunquafti fuisse subdita Cornes verb horum possidendorui jus per baculum Pastoralem vo lebat Abbati conferre. Quid con silii ceperit Aula, quidve egeril in hoc negotio, ante omnia docer nos debuisset Auctor sed hee silet omnino. Duni in potestat ttttoris erat Philippus I, certi forte sciebant regni Administratores à Monachis hujus Abbatia sat firmis rationibus defend rectèque conservari jura Iîegia Comprehenso fratre suo Gau. frido, Provinciis^ stndegavens, potitus ac Turonensi lulco Richinus dictus juvenis Philippi Régis gratiam sibi conciliarit 1 ipstimque ad rntioncs suas adjnntit. Factum hoc, etsi majoris in Gestis Consnlum. sindegav. sfttctor è contrario plus /rqtw descendit ad minium, dum disserit privata bel fa inter des Ainbasi.e Optim tes qui urhem ha ne iruf irisa/n tt-nrbant. Oti ;r in hoc opère ad HUtorium gmrralemnon altimn-, aut ri proposito nostro vi,a surit iligrali h.rc omnia pnvtrrmisimus. itcllica l’omitiim .-hidcgarensium Gcsta potisihnùm c.vponcuta su.seepit Jnonynms. In assignandi.t te,ponhu.s, i,, nmnhus ,t eoiiMietudinihix d, :seribu,di nimiùn, diligent tltininttm lux- roarcit nnnnun.jnnm detegmdo causas et primipm. ratn.nc.v evolvendo, atipie Iclloruin e.rttux e.iptifW /o. Kr .Irhcnana Edition,c. rrTrpta sunt. Tonus IX ,t inurtn /ragmrnta ; ,/M0,/ p»g. HH hujuM-e M lolun-peritur tolL-t, ,> "»« •»/>. (odirr Rrfii, Succ.c ̃V1. ’.>>•->. l’tut iniprextitm i,tu<( /̃nigmentum très /Irgios ptrvohimus ; «. Caducs s notatos Abbaye ; l’Abbé prétendoit ne re ? lever que du Roi, et le Comte VOUloit que l’Abbé reçût de lui fin vestiture par le bâton Pastoral. Ce que l’Auteur auroit du nous ap.
? prendre par préférence, c’est la
part que lai Cour prit à cette affaire mais 11 n’en dit rien. Sous la » minorité de Philippe I, le Ministère voyoit sans doute que les droits du Roi étoient assez bien défendus i par les Religieux de l’Abbaye. Foulque surnommé le Réchin devenu maître de l’Anjou et de la Touraine, par la prise de Geofroi son frere, sçut mettre dans ses intérêts le jeune Roi Philijme. Ce fait important n’est qu’ébWhe’ dans les Geste s dont nous parlons. Il n’en est pas ainsi des petites guerres de trois Seigneurs, qui possédoient par indivis la ville d’Amboise l’Auteur ’descend dans le détail le plus minutieux. Nous avons supprimé tout ce qui nous a paru ou ne point appartenir à l’Histoire générale ou être éloigné du plan de ce Recueil. Le principal objet de l’Anonyme a été d’exposer le Tableau des expéditions militaires des Comtes d’Anjou les dates ainsi que les faits relatils aux iim-urs et aux usiges y sont fort négligés ; niais ,il dédommage quelquelitis le Lecteur en développant les niotils, tes causes et tes suites •les guerres. Les iïragmens S des’ Tomes | il (,| (.u. donnés d’après IT’ilition de |)(,m Luc t|clifTi celui qu’on trouver ;! à la page JiS de ee |’ oluine a éU ; collationné sur un Manuscrit de la Reine de Suéde coté <|»(2 nous aons eu depuis communication de Imis Manuscrits de la liiNn.llieque <ln Roi eûtes l,uui ()()()() 021* «lont un est de la lin du ||’ siècle, ut «n autre ,|u ||| >OI1S cs avons comparés ensemble, > ut avec montent ;, vi,v delincatum /eçes
