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de trois ouvragesimpnmësdepui»peu d’annees :U Philippide, poème épique en dotas cbants, par H. Parseval de Orandmaiaoo ; on poème en vingt-six chants sur le même sujet et sous d’autres (ormes, par M. Viennet ; une Histoire de Philippe’ Auguste, par M. Capefigue, en quatre volumes in-8* : ce dernier ouvrage s’annonce comme ayant été couronné par l’Institut. Il est vrai que l Académie des Inscriptions et Belies-lettTes avoit, en 1825, proposé, pour sujet de prix, de < Re- > chercher quels sont en France les domaines, » provinces, villes, terres et châteaux, dont Philippe-Auguste a fait l’acquisition, et comment » il les a acquis, soit par voie de conquête, soit > par achat ou échange ; et de déterminer, entre » ces domaines, quels sont ceux dont il a disposé > par donation, par vente ou par échange, et ceux > qu’il a retenus entre ses mains et réunis à la » couronne. » Il est vrai aussi qu’en 1826 le prix a été adjugé i un mémoire de M. Capefigue ; mais l’Académie n’a en aucuneconnoissance du manuscrit des quatre volumes imprimés en 1829, et n’a porté de jugement quesur le travail, beaucoup moins étendu, présenté au concours trois ans auparavant.
gui doctü et’kierûmis chartis, tu regim bibliotheca Parisiens* asserentis, commentaria Philippi-Augusti principatum illustrantia émeripml.
Thwa qua paucis abhinc, annis in lucem prodiére operum lantummodô titulos nobis licebit memorare ; videlicet Philippidot libros duodecim, carmen vemaculd lingud epicum, auctore academico viro Parseval de Grandmaison ; allervmejusdem argumenti, diversa) verd indolis poema, seœ et viginti libris à clarissimo Viennet conditum ;postremd concinnatam d cl. Capefigue Philippi-Augusti historiam, quatuor voluminibus in-8* comprehensam, et titulum prxr se ferentem quo sibi palmam ab regio Prancia Instituto delatam gloriatur. Anno quidem 1825, Inscriptionum et humaniorum Litcrarum Academia proposito praemio studiosos viros invitaverat ut investigarent « Qua dominia, prædia, caste lia, quas provincias aut urbes sibi Philippus-Augustus in Francia comparaverit ; » quo pacto singula illa terra ei parta sint, » armisne an emptione, an permutatione ; » quibusnam, inter tot ac tanta dominia, » ipse cesserit, sponte, seu donatis, seu venditis, seu permutatis ; quanam è contrario » retinuerit, regiis opibus addicenda. » Re quoque verd pramium tulit, anno 1826, conscripta quadam d cl. Capefigue commentatio ; sed qui typis mandati sunt, anno 1829, tomi quatuor, nunquam Academia manuscripti notuerant, qua proinde nullum judicium pronunciavit aliud quàm de multà breviori opere ante elapsum triennium periclitationi subjecto.
Fils de Philippe-Auguste et d’Isabelle de Hainaut, première épouse dece monarque, LouisVIII naquit à Paris, en 1187, le 3 ou le 5 septembre, & onze heures du soir. En indiquant la deuxième de ces dates, Rigord, Guillaume le Breton, Albéric de TroLs-Fontaines, disent que c’étoit un lundi, feria secunda ; Benoit de Péterborough dit Tertio nonas septembris, die Jovis, c’est-à-dire, le jeudi 3.septembre. En 1187, le 3 septembre étoit réellement un jeudi, et le 5 un samedi : pour retrouver un lundi, il faudrait ou descendre au • 7 septembre, ou remonter au 31 août, jour assigné, en effet, à cette naissance dans un monument généalogique publié par Dom Martène. Toutefois, le 5 septembre est U date établie par la plupart des témoignages et des opinions. Louis, à I âge de quatre ans, faillit mourir d’une dyssenterie, et ce fut, selon les chroniqueurs , à de» reliques de S. Denis qu’il dut sa guérison. Peu de mois après, on le déclara héritier des domaines Patre Philippo- Augusto, matre tsabellà Script Hannonierui, primd Regis ejusdem conjuge, Gsllicsr. 1 natus est Parisiis Ludovicus VIII, anno fjj) 1187, tertio rumas vel ipsis nonis septembris, hord undecimd pomeridiand. Qui nonas difunt, Rigordus, Guillelmus Brilo, Albericut Trium -Fontium monachus, simul aiunt hebdomada feriam secundam, seu luna diem ; qui scribit tertio nonas Benedictus Petroburgensis , quintam feriam signat, diem Jovis, septembris tertiam. Itac porro tertia septembris dies, anno 1187, reemi /ot is erat ; quinta Saturni ; proinde luna septimo, aut, ti retrocedas, Augusti trigesima prima, qua quidem in genealogico stemmate, cuni Martenii edito, Ludovici Octavi natalis memoratur. Utcumque se res habuerit, pleraque «ce testimonia sive commenta quintam septembris statuunt.
Parum abfuit quin quadriennis moreretur The». Ludovicus dysenterid ustus : illi, si qua in< ;,9ifides chronicorum scriptoribus steterit, sacra Dionysii reliquia sanitatem restituérc. 1
