Page:Bourdon - La Physiognomonie et la phrénologie.djvu/54

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48 PHYSIONOMIE DE L’HOMME que jamais au même degré. Le menton est presque toujours plus petit, uni et lisse comme le reste de la face, où la barbe ne naît jamais. Ce dernier caractère toutefois n’est pas sans quelques exceptions des femmes brunes, passé vingt ans, ont parfois une jolie forêt aux côtés de la bou che, et franchement cela ne leur messied point l’essentiel est de ne jamais couper ces poils follets; celles qui les détruisent à l’exemple des Orientales et des Espagnoles, à l’aide du rusma ou de toute autre composition où entre la chaux, se préparent des repentirs. La peau alors devient rude, et elle perd son luisant, son carmin, son vif incarnat; les arracher est chose plus douloureuse, mais plus prudente. .Le cou, servant de support à la tête, n’est pas moins gracieux qu’elle ni moins significatif quant au sexe; le cou, si arrondi, si plein, si doux, si gracieusement infléchi et s’harmoniant si bien avec son