Page:Boylesve - Mademoiselle Cloque, 1899.pdf/405

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
398
MADEMOISELLE CLOQUE

Mlle Cloque éprouvèrent le grand vide que laissait ici cette âme envolée. Et tous sentaient qu’elle emportait avec elle, comme un siècle qui finit, quelque chose qui ne se retrouverait plus.

Pour la première fois, on vit M. Houblon, les épaules écrasées, donner comme tout le monde les signes d’un grand abattement. Seule, à la fenêtre de l’hôtel d’Aubrebie, la folle, agitant son drapeau dérisoire, faisait encore un geste d’espérance.


FIN

Châteauroux. — Typ. et Stér. A. MAJESTÉ et L. BOUCHARDEAU