Page:Bulletin-Rubens - Annales de la Commission officielle instituée par le Conseil communal de la ville d'Anvers, Tome 1, 1882.djvu/39

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

magistrat, allié de ma famille, m’a promis d’avoir l’œil sur ces papiers : il connait le possesseur, un vieillard octogénaire.

M. le chevalier de Burbure. — M. de Bergeyck vient de mourir.

M. Ruelens. — Dans ce cas, il faut espérer que ses héritiers voudront bien nous permettre des recherches que le défunt n’avait jamais autorisées. Mais son grand âge a pu excuser ce refus.

M. Gachard. — Nous avons examiné la question du Codex sous ses diverses faces ; il n’est pas possible, quant à présent, d’en dresser le bilan ; il nous faut poursuivre d’abord les recherches indiquées et en attendre le résultat.

Cet avis est adopté. Diverses résolutions administratives sont prises relativement aux recherches à faire en Belgique et à l’étranger.

La séance est levée à quatre heures.


Avis de cette première réunion fut donné à l’administration communale d’Anvers, le 6 mai. « Nous avons résolu, est-il dit dans la lettre, de surseoir à toute proposition, jusqu’à ce que M. Génard ait terminé l’examen minutieux des documents dont M. Goupy de Quabeck est le possesseur. Nous espérons, en outre, recevoir des notices de deux autres collections du même genre appartenant à des familles descendant, par alliance, du grand peintre d’Anvers. «