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L’ACTE DE COLOGNE


du 26 avril 1577


ET LA


LETTRE DE PHILIPPE DE MARNIX


du 18 mai de la même année[1]


Séparateur



Anvers, le 22 mai 1878.

La publication de mon ouvrage sur Rubens m’a procuré l’avantage d’entrer en relations avec M. Goupy de Quabecq, de Malines, dont la femme, née comtesse van der Fosse, descend, en ligne directe, du grand peintre. M. Goupy de Quabecq m’a permis, ainsi qu’à l’honorable Président

  1. Sauf l’acte de Cologne et le paragraphe final, cet article est la reproduction d’une lettre écrite le 22 mai 1878 à M. Ad. Siret, directeur du Journal des Beaux-Arts et publiée le 31 du même mois, dans le n° 10 de cette excellente Revue. Nous tenons à constater ce fait par lequel nous avons pris date. Voyez aussi le compte-rendu de la séance de la Commission Rubens du 1 février 1879, p. 29 de ce Bulletin.