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selon moi, de songer à une vie diatoguée de saint Fiacre ou de quelque autre ermite cë[èbre(o.c., p. 94).
En somme, Oresme songeait à un jeu de la Passion, à un jeu de saint Paul et à un ou plusieurs miracles de Notre-Dame. La seconde lettre nous est adressée par M. Robert Dessarthis, à propos de notre appel en faveur du prochain Congrès des Sociétés savantes (Paris, 1934)
’< Ne serait-il pas utile de chercher, dans les bibliothèques locales, les ouvrages, documents ou pièces relatifs aux marionnettes, sans négliger, cela va sans dire, les périodiques, estampes et manuscrits d’un intérêt plus captivant encore ?
Les marionnettes sont intéressantes pour le folklore, l’étude des usages locaux et des patois et puis elles sont à l’origine du théâtre leur faire place dans notre programme, n’est-ce pas commencer par le commencement ?
Les textes imprimés sont assez récents, mais comme il s’agit d’opuscules sans importance, de pièces de circonstances, tirées à petit nombre, ces textes n’ont pas toujours été conservés et certains sont d’une extrême rareté, en particulier les pièces écrites pour la jeunesse, car chacun sait que les livres d’enfants sont les plus difficiles à trouver ’). REVUE DES REVUES
Archives tn<Err)Q<t’onayES de la Danse, n°* t, 2 et 3 (janvier, avril et juillet 1933). Tout serait intéressant à signaler dans cette belle publication, le texte et les illustrations, d’un caractère strictement documentaire. Bornons-nous, faute de place, à relever ce qui touche de plus près à (’histoire théâtrale proprement dite
D~ Alfred SANDT Le Séjour de Noverre Vienne. Ce séjour se prolongea jusqu’à l’automne de t776, alors que la troupe des comédiens français avait été congédiée au carnaval de 1772. L’article du Dr Sandt sera un élément indispensable d’une étude d’ensemble sur Noverre. Signalons que parmi ses danseurs de Vienne figuraient plusieurs Français les demoiselles Delphine, Decamps, Dupré, Villeneuve et le ménage Simonnet.
