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GLUCK. Lettre à la comtesse de Pries, 16 novembre 1777 (d’Escherny, Mélanges, Paris, 1811) (P). Il a livré pour Armide une terrible bataille, près de laquelle les cabales contre ses autres opéras n’étaient qu’escarmouches. H se plaint de Caraccioli, l’ambassadeur, protecteur de Piccinni, et décrit la polémique entre La Harpe et Marmontel d’une part, Arnaud et Suard de l’autre. La comtesse de Frics était sœur de d’Escherny, qui avait connu Gluck à Vienne.
TmBAUDOtS DE GOBEMOUCHE. Lettre à La Harpe (J. P., 17 novembre 1777) (L).
Favorable à Gluck.
Bulletin de l’Opéra, relatif à une lettre de La VriMière au sujet de Gluck et de ses engagements avec l’Opéra, du 12 janvier 1775. Du 25 novembre 1777 (A. N., 01 634). Anonyme. Lettre du serpent d’une paroisse de village à La Harpe (J. P., 26 novembre 1777) (L). Favorable à Gluck.
GALIANI. Lettre à Marmontel, 30 novembre 1777 (Correspondance, Paris, 1881).
Anonyme. Lettre d’un marin (J. P., 12 décembre 1777). Sur La Harpe et Suard.
SAURix. Couplets à Gluck (J. P., 28 décembre 1777) (L). Anonyme. Vers sur Armide (J. P., 28 décembre 1777). NovERRB. Lettre au sujet de JRo~and, décembre 1777 (Spectacles de Paris, almanach pour 1778).
Mécontent, il retire le ballet chinois qu’il avait introduit dans l’opéra de Piccinni.
Anonyme. Lettre et 2" lettre d’une dame à La Harpe (L). Fin 1777; favorable à Gluck.
Corr. Grimm, 1777. Janvier Un ballet, ajouté à Atceste, a été hué avec tumulte.
