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IX.

Éloge de la vie monastique.

Bienheureux sectateurs du pur dogme-chrétien,

De propre à’chacun dieux, ils ne réservent rien. Soumis à leurubbé, dont la règle est letitïe, Nul ne voudrait agir suîvaîît son propre arbitre. Tous n’ont qu’un cœur‘, tous ont le même sefitîmente, Pareille nourrïtttro et paîeil vêtenïént ;

A moins- que le besËoi-n, ou dïîge ou de faiblesse, Nïautraîne à concéder Lino dispense expresse.

Le luxe est Încolïilll g ràrenferrt du p-ë-ché Uoccasion peut naître. À tous rien. n’es’t caché. Chacun, ’s’il voit Te mai, doit le Tain : connaître ; Et le mal est détruit même avant que de naître. Fuyant Poisiveté qui flous cbrrüfilfrt le cœur,

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21X. — Lmus vitae monasticœ.

Felix grex honñinmn, qui Christi dogme. sequeiltes Contemptîs opibus, 1111 proprium retinent.

Unius arbitrio quos regula sancta coercet, Quorum quisque vsuo nii agit arbitrio ; f

Cor qui buse est unùnn ; quibus "Îlldîscl-‘üta v-oluutas, Par cunctis habitus, et CÜJUS est tsimilîs ;

Sic tamen ut cap-iatequo ïquisÿque videtul : agora,

Ætas ut fragiljsdebitlitasve juhet.

Luxus ahesfl : dmïris, zpecoandi rara facultas, Cuncti eunctorunl cum «tinreaut oculos.

Lex communis äiabot visasmox -pr-odére culpas, V Ut nascens v-itium pœua seqùens resecet.

Desiglialn fugiusltt 1.211301 Litîliäs occupat omues,

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