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LIVRE III


ÉPIGRAMMES


I.

Le Vase brisé.

À Rome, un jour, je 111’011 allais cherchent Des curiosités, lorsque, sous un portique, A Pétal d’un petit marchand,

Je découvris un vase magnifique.

Il était de saphir ; on Pavait tout renlpli Dïzncens. Le brocanteur en vendait. Mon ami Acquit le contenu pour neuf deniers de France, Et n1oi, comme un prodigue en veine de dépense, J’acquis le contenant pour trois sols et demi.

Il fallait, sans encombre, emporter la merveille ; Jktehetai tout exprès, fort cher, une corbeille. Pour Pemballage, on ne négligea rien.

I. 4- Vas firctctuæn.

Porticus est Roma, quo dum spatiando fero me Bas quæreiido novas, inveni- de saphyro vas. lnstitor ignotus, vendchat cum saphyro thus ; Ïïhus socius noster tres emit deuarios, ter

Vas tribus et semi-solidis ego prodigus en 1i. Hoc 111co11cussun1 dum tollere sollicitus sum,