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^ cêêt

��251 —

��^TRTt ^okô

��^Tlifr^ cêxîjmi aug. de a??/.

^f^fïTr céa;?V^ aug. de xi 5 et 9.

^TlmT cêxêmi aug. de a;t 5 et 9.

^jT^rt^ cê/cêdmi et cêTîidyê aug. de /rzc?.

^^rf^ éêcedmi et cêcityê aug. de cï^.

T^à) l'y cêcêdmi et cêcidyê aug. de cïc?.

rTZr ce/« m. (ci/) domestique, serviteur. - F. cêti servante. cêtaka m., cêtikâî. mms.

'Srj ce^û^ m. cedî; mms. cêdaka m., cêdikâ f. mms.

��^JrT c'^'^ conj. (ct7) si.

��tant, pourvu que bien même.

��yadi cet si pour- quoique. || api cet qusind

��^fT àêta a. (ct7) qui pense, qui réfléchit, sage.

cêtaka a. (sfx. ka) mms. — S. f. cêtakî terminalia chebula, esp. de myrobalan jaune,

T^ff'T cêtana a. {cit au c.; sfx. ana) in- telligent, pensant, doué de la pensée. — S. m. l'âme pensante. — S. f. cêtana en- tendement, intelligence; || bon sens, raison droite.

^ï^nr cêtas n. {cit ; sfx. as) pensée ; bon

sens, raison : gatacêtas qui a perdu la raison.

Uii^ cédi m. np. de pays. || Au pi. les habitants de ce pays.

^h «I cêrifa 2p. sg. p. de car.

��tJ[^ cêvi f. np modes musicaux personnifiés

��d'une des Râginîs ou

��se mouvoir ; vaciller. |

��cêlâmi 1 ; etc. Aller, Cf. cal, car, etc.

��^crT cela a. [f. î\ vil, bas. — S. m. n. lièce d'étoffe suffisante pour couvrir la nu- iité d'un religieux mendiant; || en gén. iôtement. — S. f. cêli mms.

célâla m. concombre.

cêluka m. religieux mendiant.

��'W^

��ce s t.

��cicêstê: etc.

��cêstê 1 ; p.

{^ller, se mouvoir, s'agiter : yadâ sa dêvô dgarli tadâ idam cêstatê jagat quand Brah-

��mâ s'éveille alors ce monde se met en mouvement. || Se mouvoir pour faire qqc, se donner de la peine à qqc. avec Tac.

cêstayâmi (c. de ces t); pqp. acicêstam et aéacêslam. Mettre en mouvement, donner le branle, ac. || Au fig. exciter, exhorter.

éêstâ f. mouvement donné ou reçu, branle; || effort, action.

cêsLita (pp. de cêstayâmi) mis en mouve- ment : rurucêsLitam vanam forêt où cou- rent les antilopes. — S. n. mouvement, branle; |j effort, action.

g^ '

^d-^tl cœtanya n. [cit; sfx. ana\ sfx. ya) pensée, intelligence, âme pensante; j] le principe divin qui réside dans les intel- hgences.

^jr^ cœtya n. [cit au c.) tout objet qui rappelle une idée, monument : |j pierre sépulcrale, colonne funéraire, place d'un bûcher, autel, temple, etc. 1| Tout lieu consacré au culte ; || borne-frontière. — M. arbre sacré.

cœtyadru m. ficus religiosa ou arbre de Dieu.

cœtyamulîa m. pot-à-l'eau des novices. '

cœtyavrxa m. ficus religiosa, bot.

rî^ csetra m. (citra) nom d'un mois [mars-avril]. |1 Np. d'une des chaînes de montagnes c[ui séparent les varias. || ReU- gieux mendiant. — N. cf. cœtya.

ca;lraka m. le mois de extra.

csetrarat'a n. [citrarat'a) le jardin de Kuvera.

câirâvali f. le jour de la pleine lune du mois de câBtra.

cœlrika m. le mois de csetra.

rT^ cœdya a. du pays de Tchêdi.

^STr^T cxla n. habit; cf. cela.

^r<iGh cxlaka a. qui porte le cela des mendiants [c'est la 4^ des 5 classes des reli- gieux buddhistes] .

tI^ cœva (ca ; eva) et aussi.

rTr^-cïT câkucyê aug. de kuhc.

rJ^lctif^H côkutyê aug. de kut.

•o "* '

^jcf)C6l côkupyê aug. de kup. ^^TIT côhûjmi et côkûjyê aug. de

��kiij.

��^nWm côkûyê

��aug.

��de ku 2 et de ku, kû 6.

^T^TT^ côkôsmi, côkusyê aug. de kus.

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