Page:Busch - Découvertes d’un bibliophile.djvu/33

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tiam cum naturâ, quæ seminis humani effusionem unicè ordinavit ad generationem prolis[1]. »

P. 314 : « Non datur obligatio cohibendi pollutionem sponte suâ evenientem, aut in somno, vel ALITER contrâ voluntatem inceptam. Ratio est quiâ talis conatus plerumque esset INUTILIS, imò nocivus sanitati, sed sufficit tunc elicere internam displicentiam !!! »

P. 315 : « Licitè sacerdos excipit confessiones, turpia legit in libris moralibus ad implenda sui muneris officia, licet indè prævidens probabiliter secuturam pollutionem[2], modò absit periculum consensus, et concipiat positivam displicentiam. »

  1. Voy. aussi l’Épigramme de Martial in Ponticum dont il sera question plus loin dans l’analyse de Sættler. Mais comment concilier avec ce principe les passages suivants et surtout ceux des p. 315 et 316 ?
  2. « Quia enim impossibile est in sensum hominis non irruere innatum medullarum calorem, ille laudatur, ille prædicatur beatus, qui ut cæperit cogitare sordida, STATIM INTERFICIT COGITATUS. » (Hieron. ad Eustoch.)

    Une traduction de la suite de cette lettre a été insérée dans un discours sur la virginité, prononcé à la cérémonie du couronnement de la première Rosière de Salency, par M. C. de la Néronière, docteur en théologie, prieur de Saint-Nicolas, curé de la même paroisse. Angers, de l’imprimerie de C. P. Marne, et Paris, Durand, 1786. gr. in-8o, p. 25 :

    « Quoi, disait saint Jérôme, tandis que les saints, au milieu des désserts, tremblent et gémissent dans les assauts qu’ils essuient, l’âme