Maintenant, échappons-nous.
Qu’est ceci, Cosme ? Tu n’as pas encore de lumière ?
Hélas ! mon seigneur, l’esprit follet nous a tués tous deux… La lumière, en soufflant dessus… et moi, en me frappant à grands coups.
C’est ta peur qui t’abuse.
Ce n’est que trop certain.
Si je pouvais trouver la porte.
Qui va là ?
C’est encore pis ! J’ai rencontré le maître.
Apporte de la lumière, Cosme. Je tiens l’inconnu.
Eh bien ! ne le lâchez pas.
Sois tranquille. Va vite.
Tenez-le bien.
Puisqu’il tient la corbeille, laissons-la-lui entre les mains. J’ai trouvé l’armoire. Bonsoir !
Qui que vous soyez, demeurez tranquille jusqu’à ce qu’on ait apportez de la lumière… Autrement, vive Dieu ! je saurai vous retenir… Mais quoi ! je ne saisis que du vent, et je ne touche que du linge… Que serait-ce ! Dieu me soit en aide ! Je me sens plein de trouble.
Voyons maintenant l’esprit follet… Mais où est il ? Qu’est-il devenu ? Ne le tenez-vous pas, seigneur ? Il vous a donc échappé ? Qu’est-ce à dire ?