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contrats, que tout ce bien ne soit qu’en argent ou en papiers.

Le CHEVALIER.

Et comment le savoir ?

M. DUBOULOIR.

C’est très-difficile ; car c’est là le secret des avares & ils ne le confient à personne.

Le CHEVALIER.

Il n’y a donc aucunes ressources ?

M. DUBOULOIR.

Non, si vous êtes sûr qu’il n’y a ni fonds, ni contrats que l’on connoisse.

Le CHEVALIER.

Ah, Monsieur ! je suis un homme perdu !

M. DUBOULOIR.

Comment ne pouvez-vous pas vivre dans l’emploi que vous avez ?

Le CHEVALIER.

S’il n’y avoit que moi, ce ne seroit rien ; mais n’ayant plus de ressources, plus d’espoir d’avoir rien, de la succession de mon oncle ; je vais faire le malheur d’une personne que j’aime… Ah, Monsieur ! elle en mourra de désespoir !