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M. DEVERBERIE.
Hé bien ! prenez du chocolat, cela fera peut-être que…
L’ABBÉ.
Non, au contraire : ainsi vous voyez bien que j’avois mes raisons.
M. DELAMERCI.
Il est vrai ; mais quand pourrai-je donc partir ?
L’ABBÉ.
Je ne sais pas ; mais d’ici à deux ou trois jours, seulement…
M. DELAMERCI.
Quoi ! deux ou trois jours !…
L’ABBÉ.
Je ne peux pas répondre du temps.
M. DELAMERCI.
Mais n’y auroit-il pas quelques moyens à prendre ; car cela me dérange prodigieusement.
M. DEVERBERIE.
C’est dommage que l’Abbé croie que le chocolat… mais essayez-en toujours.
L’ABBÉ.
Tenez, puisque vous êtes si pressé…