Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
GROS-PIERRE.
Oui, Monsieur l’Avocat, j’y venons, parce que j’ons une affaire de conséquence, où j’aurions grand besoin que vous me bailliez votre avis, voyais-vous.
M. DUBUT.
Eh bien ! mon ami, tu n’as qu’à dire. Tu sais bien que j’aime à te faire plaisir.
GROS-PIERRE.
C’est aussi pour cela que je venons à vous, Monsieur l’Avocat.
VINCENT, à Gros-Pierre.
Il m’est avis qu’il faut que je m’en aille, je m’en vais t’attendre aux trois-Rois.
GROS-PIERRE.
Quand j’aurai fini, j’irai t’y trouver.
VINCENT.
Adieu, Monsieur l’Avocat.
M. DUBUT.
Adieu, mon ami, adieu.