Page:Carnet de guerre d'Alton Dondeyne.pdf/18

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On fit appel a trois cents joyeux volontaires pour enlever cette maudite ferme s’étant débarrassé de tout ce qui pouvait les géner, ne gardant que leurs armes. Ils s’élancent, bayonnette au canon ! mais sans tirer un coup de fusil.

Ah ! les Brâves !

En Avant !

A la fourchette, et en chantant la Marseillaise !

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Eux ! on enlevé la ferme ; le bataillon allemand mis en déroute, l’acier seul ! travaillaient. Ceux qui ne purent se sauver étaient embroché sans rémission par nos joyeux, pas de prisonniers sauf un ! presqu’un gamin, qui fut ramené dans nos lignes a cause de sa jeunesse. De nos Joyeux quelque-uns a peine revinrent ! ........ mais le travail était fait.

Comme nous n’avions pas eu a intervenir, nous descendîmes le lendemain plus sur la droite, nous arrivons dans un village rasé, la ruine, plus une maison debout,

La malheureuse Belgique est bien dévastée !!