Page:Casgrain - Légendes canadiennes, 1861.djvu/100

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au milieu des joncs de la rive, secoue ses blanches ailes en prenant son essor et fait pleuvoir autour de lui les plumes et les gouttelettes de rosée ; ou bien encore au splendide magnolia, qui croît sur les bords du fleuve et qui, balancé par le souffle embaumé de la brise matinale, répand, sur l’onde où il se mire la poussière féconde de sa corolle.