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MUSÉE ÉPIGRAPHIQUE
207. Épitaphe de Thaemus Julianus, décurion de la cité de Canotha en Syrie, negotiator Lugduni et provinciae Aquitanicae. — Une épitaphe grecque en vers précède l’épitaphe latine.
Trouvée en 1862, dans les fondations d’une maison au village de Genay (Ain). Haut. 1,10 ; larg. 0,40. Arcade xxvii.
208. Dédicace à Mars par Callimorphus, seconde lame, d’une troupe de gladiateurs.
Autrefois base de la croix d’un carrefour près de Saint-Clair ; ensuite dans la collection Bellièvre. Haut. 0,25 ; larg. 0,43. Arcade xii.
209. Epitaphe de Blandinia Martiola, femme de Pompeius Catussa, de la profession de Tector.
Découverte en 1815, dans les fondations de la commanderie de Saint-Georges. Haut. 0,78 ; larg. 0,42. Arcade lxiii.
210. Enseigne d’un établissement thermal dans le domaine de C. Ulattius Aper.
Trouvée en 1863, dans la Saône, vis-à-vis de la montée du Greillon. Haut. 0,98 ; larg.1,35. Arcade lxii.
211. Epitaphe de. Julius Alexsander, de la profession de verrier.
Découverte en 1757 à Saint-Irénée Haut 0,90; larg. 0,44. Arcade i.


La place dont nous pouvons disposer étant limitée, nous sommes forcé de terminer ici cette nomenclature très incomplète mais cependant suffisante pour donner un aperçu de importance des inscriptions antiques conservées sous les portiques du Palais des Arts.