Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, I.djvu/14

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Comment les damnés ne peuvent désirer aucun bien 
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De la gloire des bienheureux 
 131
Comment, après le jugement général, croîtra la peine des damnés 
 137
De l’utilité des tentations, et comment toute âme, à ses derniers instants, voit la place de gloire ou de châtiment qui lui est destinée 
 142
Comment le démon attire les âmes par l’apparence du bien. Comment celles qui passent par le fleuve et non par le pont sont trompées, et en voulant fuir les peines, y tombent. Vision d’un arbre qu’eut une fois cette âme 
 146
Quels sont ceux à qui ces épines ne font aucun mal, bien que personne ne puisse traverser la vie sans y trouver des peines ? 
 150
Des maux qui proviennent de l’aveuglement de l’intelligence, et comment le bien qui n’est pas fait en état de grâce, ne sert de rien pour la vie éternelle 
 155
Comment l’on ne peut observer les commandements, si l’on n’observe les conseils. Et comment, dans quelque état que l’âme choisisse, si sa volonté est bonne et sainte, elle est toujours agréable à Dieu 
 159
Comment les mondains ne se peuvent rassasier, et du châtiment de la volonté perverse en cette vie 
 164
Comment la crainte servile est insuffisante pour acquérir la vie éternelle. Comment on arrive par cette crainte à l’amour de la vertu 
 168
Comment celte âme éprouve une grande amertume devant l’aveuglement de ceux qui se noient dans le fleuve 
 172