Page:Cazotte - Le Diable amoureux.djvu/276

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XVIII


ce nom fatal, quoique si tendrement prononcé, une frayeur mortelle me saisit ; l’étonnement, la stupeur accablent mon âme : je la croirais anéantie si la voix sourde du remords ne criait pas au fond de mon cœur. Cependant, la révolte de mes sens subsiste d’autant