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tenir les leurs. Quant aux paroles que se dirent les deux frères et aux sentiments qu’ils se témoignèrent, à peine, je crois, peut-on les imaginer, à plus forte raison les écrire. Tantôt ils se racontaient brièvement leurs aventures, tantôt ils faisaient éclater la bonne amitié de deux frères ; l’auditeur embrassait Zoraïde, puis il lui offrait sa fortune, puis il la faisait embrasser par sa fille ; puis la jolie chrétienne et la belle Moresque