Page:Chadourne - L’Amour et le Sablier, 1921.djvu/15

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Trois
petits Préludes


I


 
La Nuit s’est refermée
Comme un calice obscur
Sur la pulpe dorée
Et tiède de la chambre.


La lampe se consume
Sous un arc de silence
Et je ne sais plus rien
Sinon que je suis seul,