Chansons nouvellement composées (Paris, Jehan Bonfons, 1548, pet. in-8 goth.), fol. E iij b de la réimpression ; — Le Rosier des Chansons nouvelles tant de l’amour que de la guerre (Lyon, s. n., 1580, in-16), fol. 54 b.
X
La chanson dont Chaperon a suivi la mélodie se trouve dans les deux recueils suivants : Plusieurs belles Chansons nouvelles (Paris, Alain Lotrian, 1542, pet. in-8 goth.), p. 60 de la réimpression ; — Chansons nouvellement composées (Paris, Jehan Bonfons, 1548, pet. in-8 goth.), fol. K i a de la réimpression ; elle commence ainsi :
Adieu, m’amye, adieu, ma rose ;
Jamais je ne vous oubliray…
Nous connaissons deux pièces qui se chantaient sur le même air :
1o Chanson nouvelle sur le trespassement de madame Isabeau, royne des Espaignes, femme de l’Empereur ; sur le chant : Adieu, m’amye, adieu, ma rose (1539).
Voulez vous ouyr des nouvelles
Qu’en France avons pour le present ?…
Plusieurs belles Chansons nouvelles (Paris, Alain Lotrian, 1542, pet. in-8 goth.), p. 77 de la réimpression.