Page:Chapman - Les Fleurs de givre, 1912.djvu/137

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Les défunts, réveillés au fond des cimetières,
Depuis de longs instants demandent des prières
Par la voix de l’airain, des arbres aux abois.

Et, parmi tous les bruits rauques de la tourmente,
Qui soulève les flots et fait craquer les toits,
Toujours plus tristement la cloche se lamente.