Page:Charbonneau - Fontile, 1945.djvu/69

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miers pas. Des souvenirs montaient en moi de ce passé proche, mettaient une note claire dans la trame désespérée de mes pensées.

Au moment de me quitter, infiniment douce et simple, madame Camarin me tendit la main, geste qu’elle faisait rarement. Avec un sourire où passait toute son affection, elle dit, presque dans un murmure : « Adieu Julien. »