Page:Charles-Joseph Mayer, Vie de Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France, femme de Louis XVI, 1793.djvu/193

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tit les effets ; elle consistoit dans une descente ou relâchement de matrice, fruit de ses continuelles débauches, et des excès auxquels elle se livrait avec les Tribades ses favorites. La maladresse de l’accoucheur Vermond fut seule accusée de cette circonstance ; néanmoins il conserva la faveur, de même que l’abbé de Vermond son frere, qui par ses lectures ordurières, entretenoit dans sa Souveraine, l’abandon des mœurs et le goût de la dépravation.

Le duc de Nivernois, les joueurs de la Cour, les banquiers. Chalabre et Poinçot, un miséra-

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