Page:Charles-Joseph Mayer, Vie de Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France, femme de Louis XVI, 1793.djvu/329

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ques à quand enfin te laisserais-tu museler par des valets de l’ancien régime qui ne sont devenus les tiens que pour arracher la main qui les nourrit ou les décore ?

Imite, crois-moi, les marchands de statues ; ils brisent leurs idoles quand il leur plaît ; mais en brisant les tiennes, que ce soit de manière à ce que les morceaux ne soient plus propres à rien.

Un de ces écrivains dont la feinte modestie ou la crainte pusillanime affecte l’impartialité, a craint de prononcer sur le ca-