Page:Charles-Joseph Mayer, Vie de Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France, femme de Louis XVI, 1793.djvu/395

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j’ai faite au sujet de Leblond. Je vous suis obligé de m’avoir éclairé sur cet objet ; je me rendrai au plus tôt chez lui pour lui en faire mes excuses, et pour nous concerter sur le plan que vous avez soumis à l’intégrité de vos bons amis. Je me rendrai, sitôt que mes occupations me le permettront, à la douce invitation que vous me faites. J’y porterai un cœur reconnoissant, et tout plein d’un amour qui ne finira qu’avec ma vie.... Quelle faveur pour moi, et puis-je jamais la mériter !.. Au moment où je vous écris, des importuns, qui se disent commissaires de l’assemblée du manège, viennent recueillir des

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