Page:Charles-Joseph Mayer, Vie de Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France, femme de Louis XVI, 1793.djvu/471

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 109 )

lui communique aussi le journal du soir, dans lequel il trouve, par fois, des articles qui doivent le résigner à tout ce qui peut lui arriver de fâcheux ; il ne paroît point s’affecter vivement, ; l’espérance ne paroît point être bannie encore de son cœur. Pour la reine, le dépit, l’amour la consume, et elle paroît vivement regretter les bosquets de Versailles et le boudoir des Tuilleries.

Lorsque nous avons pris la plume pour écrire sa vie scandaleuse et libertine, nous ne pensions pas qu’un jour nous serions forcé, pour terminer cet ouvrage, de tracer des faits qui n’appartiennent qu’à l’histoire raisonnée du pays ;

  Tome III. IVe. partie.
I