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du conquérant, d’offrir au blessé des sacrifices, et en fait de nourriture ne lui donnèrent que la chair des victimes, de sorte que la malheureuse bête, affamée par tant d’honneurs et qui eût de beaucoup préféré une botte de foin aux prières et à l’encens qu’on lui prodiguait, mourut bientôt d’inanition.
Temple et stèle à Tikal. (Voy. p. 13.)
Les Itzaes, terrifiés et craignant la vengeance de Cortez s’il