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PRÉFACE

la plus intéreſſante moitié de l’Italie. L’ouvrage ne peut être regardé que comme également avantageux aux Littérateurs ſous l’un & l’autre de ces points de vue : ſous le premier comme appartenant proprement à Horace, & ſous le ſecond, comme n’aïant pas ſeulement tout ſon fondement dans le même Poëte, mais comme reçevant ſes expoſitions ſurtout des autres Auteurs Claſſiques, qui ne ſont pas moins entre leurs mains. Mon travail ſous cette ſeconde face ſera cependant d’un uſage encore plus particulier pour les Voïageurs, à cauſe des lumières qu’il leur fournira pour la portion de leur curioſité, qui le mérite le plus & qui en avoit plus de beſoin.

Un ſujet auſſi vaſte ſembloit demander un titre moins reſtraint que celui que je lui ai donné : mais j’ai jugé que je ne devois pas moins m’y borner moins parceque tous les autres points ne pouvoient paroitre plus favorablement que ſous les auſpices de celui qu’il exprime, que parcequ’ils s’y rapportent réélement, & qu’ils doivent être regardés comme des portions ſans lesquelles il ne ſauroit être parfaitement complet.

II. Plus la découverte que je propoſe