Page:Cinq nô.djvu/196

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Entre tous l’alma profondément le noble général de [Fukakusa.

CHOEUR.

Volcl toutes mes rancwurs qui revlennent. Vers l’escabeau de son char encore et encore je veux ‘ · [aller. l Le jour, ie m’lnquléte de l’heure; et quand descend la L [nuit, je pars, avec la lune comme seule compagne. Sur le che- [min que je suis, Les gardes des barrieres auront beau se dresser, 1 je ne m’arréteral pas. Allons, partons. r

ll va a l’arriére-plan, oi: les memo-luke lui enlévent son cha- peau, sa canne et le m£{u·gvroma, le revétent du  ; a habit de chasse », sorte de dalmatique a larges manches l dont l’ouverture est garnie de cordons qui pendent, et le coiient de l‘ebosb£, haute collfure de cour de couleur noire (‘). Puls ll redescend en scene. [

DEUXIEME PARTIE

sc1¤:N1.=·: v1.

CHOEUR.

Les gardes des barriéres auront beau se dresser, je ne [m’arréteral pas. Allons, partons.

SHITE.

Relevant mon bakama (’) blanc, Pendant le chceur qui suit, le shite exécute un iroe, ou un kalwri (•), ligurant la marche précipltée du général.