Page:Cinq nô.djvu/219

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0 11 a R o 0 K o 21 C’est ainsi, dit-on, qu’enfin il obtint [l’intelligence de] Et moi aussi, c’est pour le Buddha (‘), ` [l- voi ·. Que, portant en mes mains une corbeille a tleurs, . je vais m’enfoncant au plus profond des montagnes( s . Pendant ce chmur, la Nyoin est sortie de la cabane avec Dainagon no tsubone qui lui a remis la corbeille plaree devant elle; puis toutes deux ont quitté la scene lemement et sont rentrées dans le kagami no ma. _ l SCENE 111. i Introduction instrumentale. Entrée du cortege `impérial. } L’Empereur est coiffé du bam: no bdsbi ou du sbémo b . [ large bonnet a couvre·nuque, coiffure des hauts pers nna es bouddhiques. ll est vétu de l’atsu·ita et du sasbi-mak` pantr · lon bouffant serré aux chevilles. Par-dessus l’alsu-ita, il port un mips-gnromo généralement violet, et le kesa, insi ne . des moines, consistant en un rectangle d’étofl`e pr cieuse Q soutenu a hauteur de la poitrine par une bande de 2 rnéme matiére qui fait le tour du cou. Deux suiv ts n

tuniques de couleur et larges pantalons, la téte ceint de la

i bandelette appelée bacbimaki, soutiennent au-dessu · f téte un dais léger figurant le palanquin impérial. Lewn ` uit, portant le haut a chapeau noir ployé en coup d · t·· (ka(a·0ri ebosbi), l’atsu-ita et l’habit de chasse (kari-g` . _ ENSEMBLE. De la ville aux neuf enc i s Va·t-il donc cherchant ce qu’il peut subsiste des [tl u s ( ) Ce sentier de montagne courant sous le vert feuill P Sur l’herbe drue (') qu’écartent nos pas la ro es · épaiss ( '.·r · Vers Ohara hétons la marche de l’Empereur. Le chueur répete ces vers en sourdine. L’Empereur · retir