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r 0 u A R A 0 0 K 0 ¤ , Oh! ce soir (‘) d’aujourd’hui que ie xfimaginais pas! f Suis-je donc revenue aux jours d’autrefois? A ces sou f [venirs mes larmes coulent enco ' E En vérité du Seigneur jusqu’en ces lieux

La pensée pitoyable s'est étendue.

Que sa bonté est grande l Et Ohara, Et l’étr0it sentier de la campagne de Seriu, Et la source d’Obor0 (’), ce n’est plus l'éclat de la lune Mais celui de sa presence qui les illustrera. Pendant ce chmur, Awa no naishi a pris la corbeille do ` fleurs que l'lmpératrice avait déposée devant elle et est all" T s’accr0upir a droite devant le chmur. Puis Ylmpératrice t ` Dainagon no tsubone commencent a descendre lentemem at L avec des arréts vers la scene, ou elles entrent pendant le r suivant. cucxaun. Or ca, cette visite impériale, i En quelle saison eut-elle lieu? sum;. Le printemps est passé; déja l’été Est venu. C’est le temps de la féte du Nord ('). Les arbres d’été tout semés de feuilles vertes Gardent encore un reste du printemps regretté. cr-maun. Aux montagnes lointalnes ces blancs nuages accroch 's, sr-frm. Ne sont·ils pas un dernier souvenir (‘) des fleurs effeuil- [lées?