Page:Cinq nô.djvu/230

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m c 1 N Q rx 6 je ne tomberai pas aux mains de mes ennemis; Et faccompagnerai le Seigneur souverainl » Prenant par la main l’Empereur Antoku, elle s’approche [du bofdage; Et comme l’Empereur demande : 4: Ou allons-nous ? » 4: En ce pays, [dit-elle,] les sujets sont en trop grand Voyez combien ces lieux sont etfrayants. [nombre: Le Paradis, comme on appelle Ce séjour de délices, c’est la sous ces vagues : C’est la que je vais vous conduire. » Ainsi elle parle en versant d’abondantes larmes. Alors: 4: Eh bien, je suis prét », dit [l’Empereur]. Elle le fait se tourner vers l’Est (‘) Pour prendre congé de la grande déesse Amateru; cumun. Puis vers l’Ouest pour faire les dix invocations ('). snrrs. as je le sais maintenant : 4 cuazun. Dans le courant de la rivlére Mimosuso, Sous les vagues, tout au fond, il est aussi une capitale (') », r Ce fut sa poésie supreme ; [dit-elle. = Et ils s’enfoncérent dans l’abime de mille brasses (‘). 1 Moi aussi je m’y suis jetée a leur suite; r Mais des soldats des Minamoto m’en ont retirée, § Et ma vie se poursuit lnutile. En revoyant une fois encore le visage de l’Empereur, H Des larmes m’échappent hors de propos, et je suis hon- . [teuse de tordre ainsi mes manches (‘)- H Elle se voile la figure des extrémités de son bam no bésbi. i