Page:Clairville – « L’Internationale » et « La Commune », parus dans Le Caveau, 1872.djvu/9

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» Le fusiller serait pour nous une justice. »
Que tous subissent donc aujourd’hui le supplice
Dont ils menaçaient Dieu !

De la chanson l’esprit est généreux,
Elle sourit à tous les rêves creux :
Mais du peuple français prolongeant la souffrance,
Ces hommes des Prussiens ont comblé l’espérance,
Ils ont brûlé Paris, déshonoré la France,
Pas de pitié pour eux !


CLAIRVILLE,
Membre titulaire.