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rieux ; né en 1815 ; élevé par les parents de sa mère jusqu’en 1827, puis repris par son père, qu’il aimait beaucoup et dont il avait le caractère énergique et sauvage (Le Curé de Village).

Faucombe (Madame de), sœur de madame des Touches et tante de Félicité des Touches (Camille Maupin) ; religieuse de Chelles, à qui Félicité fut confiée par sa mère mourante, en 1793. La religieuse emmena sa nièce à Faucombe, terre considérable près de Nantes, appartenant à la défunte, et elle y mourut de peur, en 1794 (Béatrix).

Faucombe (De), grand-oncle maternel de Félicité des Touches ; né vers 1734, mort en 1814. Il habitait Nantes et avait épousé dans sa vieillesse une jeune femme frivole, à qui il abandonnait le gouvernement de ses affaires. Archéologue passionné, il ne s’occupa nullement de l’éducation de sa petite-nièce, qui lui fut amenée, en 1794, après la mort de madame de Faucombe, l’ancienne religieuse de Chelles ; en sorte que Félicité grandit auprès de ce vieillard et de cette jeune femme, sans aucune direction, entièrement livrée à elle-même (Béatrix).

Faustine, jeune femme d’Argentan, qui fut exécutée en 1813, à Mortagne, pour avoir tué son enfant. En 1816, Suzanne (la future madame du Val-Noble) évoquait le souvenir de la « belle Faustine » devant M. du Bousquier, en lui soutirant de l’argent, sous le prétexte qu’elle était enceinte de ses œuvres (La Vieille Fille).

Félicie, femme de chambre de madame Diard, à Bordeaux, en 1823 (Les Marana).

Félicité, grosse fille rousse et louche, servante de madame Vauthier, qui tenait un hôtel garni rue Notre-Dame-des-Champs et boulevard du Montparnasse, sous Louis-Philippe (L’Envers de l’Histoire contemporaine).

Félix, garçon de bureau du procureur général Granville, en 1830 (La Dernière Incarnation de Vautrin).