Page:Comédie humaine - Répertoire.djvu/300

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dont il devint l’intime ami et chez lequel il se prit d’affection pour la jeune pupille du docteur (madame Savinien de Portenduère), qu’il instruisit d’une façon remarquable et à laquelle il laissa quatorze cents francs de rente, quand il mourut en 1823 (Ursule Mirouet).

Joseph, avec Charles et François, faisait partie du personnel domestique de Montcornet, aux Aigues, en Bourgogne, vers 1823 (Les Paysans).

Joseph, vers 1831, à Paris, au service de Pauline Gaudin, devenue riche (La Peau de Chagrin).

Joseph, vers le milieu de la Restauration vieux valet de chambre du comte de Fontaine (Le Bal de Sceaux).

Joseph, fidèle domestique d’Eugène de Rastignac sous la Restauration, à Paris. — En 1828, il porta à la marquise de Listomère une lettre écrite par son maître à madame de Nucingen : cette erreur, dont Joseph ne put, d’ailleurs, être rendu responsable, causa le dépit de la marquise, lorsqu’elle sut la missive destinée à une autre (La Peau de Chagrin. — Étude de femme).

Joseph, à Paris, dans la Chaussée-d’Antin, au service de Ferdinand du Tillet, déjà lancé et recevant avec faste César Birotteau (César Birotteau).

Joseph, prénom d’un honnête fumiste de la rue Saint-Lazare, à Paris, vers la fin du règne de Louis-Philippe. — Italien d’origine, marié, père de famille, sauvé de la faillite par Adeline Hulot, agissant pour le compte de madame de la Chanterie, Joseph, en relations avec l’écrivain public Vyder, lui amena madame Hulot, qui retrouva en lui Hector Hulot d’Ervy (La Cousine Bette).

Josépha. — V. Mirah (Josépha).

Joséphin, vieux valet de chambre de Victurnien d’Esgrignon ; « espèce de Chesnel en livrée » (Le Cabinet des Antiques).