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Vermut (Madame), femme du précédent ; boute-en-train du salon de madame Soudry, qui, pourtant, lui trouvait mauvais ton et la blâmait de coqueter avec Gourdon, l’auteur de la Bilboquéide (Les Paysans).

Vernal (L’abbé), avec Châtillon, Suzannet et le comte de Fontaine, l’un des quatre chefs de la Vendée, en 1799, pendant que Montauran combattait Hulot (Les Chouans).

Vernet (Joseph), né en 1714, mort en 1780, célèbre peintre français, eut, pour fournisseur de drap, le beau-père de Sommervieux, M. Guillaume, du Chat qui pelote, rue Saint-Denis (La Maison du Chat qui Pelote).

Verneuil (Marquis de) appartenant à une famille historique, et probablement un des ancêtres des Verneuil des XVIIIe et XIXe siècles. — Il fréquentait, en 1591, le gentilhomme normand comte d’Hérouville, ascendant du protecteur de Josépha Mirah, étoile de l’Académie royale de musique vers 1838. — Les relations entre les deux maisons se poursuivirent à travers les siècles (L’Enfant Maudit).

Verneuil (Victor-Amédée duc de), qui devait descendre du précédent et qui mourut avant la Révolution, eut, en dehors du mariage, de mademoiselle Blanche de Casteran, une fille, Marie-Nathalie (plus tard madame Alphonse de Montauran), la reconnut pendant les dernières heures de sa vie, et, au profit de cette enfant naturelle, déshérita presque son fils légitime (Les Chouans).

Verneuil (Mademoiselle de), parente probable des précédents, sœur du prince de Loudon, le général de la cavalerie vendéenne, vint au Mans pour le sauver et périt sur l’échafaud, après l’affaire de Savenay, en 1793 (Les Chouans).

Verneuil (Duc de), fils du duc Victor-Amédée de Verneuil et frère de madame Alphonse de Montauran, avec laquelle il fut en procès pour l’héritage paternel, habitait sous la Restauration la ville d’Alençon, et y fréquentait la maison d’Esgrignon. Il se fit, auprès