river au même but par une modification de la loi des densités. Les différences entre le calcul et les observations journalières sont trop grandes, trop irrégulières, pour qu’il puisse être question ici d’autre chose que de résultats moyens.
des Irish Transactions.)
La méthode de correction de Brinkley, est une modification, ou, si on l’aime mieux, un perfectionnement de celle que Laplace a donnée dans la Mécanique céleste.
L’auteur se montre si vivement contrarié du désaccord, d’ailleurs si petit, de ses observations avec celles de Greenwich, qu’il les multiplie, les groupe, et les discute de toutes les manières possibles, avec l’espérance d’y trouver quelque erreur ; mais ses efforts ne font jamais disparaître les petites parallaxes. Voici les résultats numériques de ce nouveau travail :
Constante de l’aberration. |
Parallaxe. | |
Polaire |
20″,18 |
−0″,03 |
de la Grande-Ourse |
20,16 |
+0,02 |
20,48 |
+0,39 | |
20,29 |
+0,33 | |
20,23 |
+0,28 | |
20,76 |
+0,13 | |
Arcturus |
20,04 |
+0,60 |
de la Petite-Ourse |
20,49 |
−0,13 |
d’Ophiuchus |
20,39 |
+1,57 |
du Dragon |
19,86 |
−0,08 |
de la Lyre |
20,36 |
+1,21 |
de l’Aigle |
21,32 |
+1,57 |
du Cygne |
20,52 |
+0,33 |
N’est-il pas curieux, dit l’auteur, si mes parallaxes sont une illusion, qu’il ne s’en soit présenté aucune d’un peu grande avec le signe négatif ;