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Le Comte de Caylus. — Sur les Dessins : De l’attrait, de l’utilité, de la connoissance des dessins. — Le charme de l’ébauche. — Le dessin a distrait certains peintres de leur vocation. — Le Parmesan et La Fage. — Ces deux maîtres sont plus dessinateurs que peintres. — Le clair-obscur. — Abus des esquisses. — Du profit que peut retirer un peintre de la vue des dessins de maîtres. — De la manière. — Rubens avait coutume d’étudier des dessins. — La connoissance des dessins. — Les originaux. — Les copies. — On croit généralement que les peintres ne sont pas connaisseurs. — Des exigences fâcheuses auxquelles sont soumis les artistes. — Le dessin de Raphaël pour l’Attila arrêté aux portes de Rome. — Différences qui existent entre ce dessin et la fresque faut plaindre les peintres du Vatican. — Un caprice de Léon X. — Il faut plaindre les peintres lorsque les hommes qui leur commandent un tableau n’ont pas le sens de l’art 
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Jean-Baptiste Oudry. — Sur la manière d’étudier la couleur en comparant les objets entre eux : Oudry a composé ce discours pour l’éducation de son fils. — La présence des élèves de l’école aux conférences de l’Académie le porte à prendre la parole. — Éloge de Largillière. — Les Flamands. — Le dessin dans l’école flamande et dans l’école françoise. — Choix du modèle vivant. — Rubens et Van Dyck. — Le dessin d’après nature. — Du coloris. — Analyse du coloris des maîtres. — Il faut comparer l’œuvre des maîtres avec la nature. — Valeur relative des objets dans une composition. — Les accessoires ne doivent pas être négligés. — L’artiste a tort de recourir à des mains étrangères pour l’exécution des parties qu’il juge sans intérêt. — Anecdote sur un bouquet de fleurs blanches. — Le clair-obscur. — Théorie de Largillière sur la lumière. — Des repoussoirs. — L’intelligence des masses. — Intérieur d’église. — Rembrandt. — Distribution des ombres. — La nature est l’initiateur du peintre dans l’étude de la lumière. — Comment il faut poser le modèle 
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Jean-Baptiste Oudry. — Sur la manière de peindre : La peinture à sec. — Application des vernis. — Peinture a fresco. — Des glacis. — De la représentation des plumes et des cheveux. — L’Académie sait gré à Oudry de ses études sur le choix des couleurs et sur leur application 
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Louis Galloche. — Sur le Dessin. — La couleur. — Les œuvres des maîtres : Qu’il faut aimer l’antique. — Les préceptes des anciens sont sans appel. — Utilité de l’étude de l’anatomie. — Du modèle vivant. — Le clair-obscur. — L’étude des maîtres. — Carlo Maratti. — De La Fosse. — Qu’il ne faut point se hâter de laisser le crayon pour le pinceau. — Les hachures. — Itinéraire d’un artiste en Italie 
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FIN.