Page:Contes de l Ille et Vilaine.djvu/210

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vrait les oreilles de ses mains en fuyant à toutes jambes.

Désespérant de le rattraper, le paysan rentra chez lui où sa femme, pendant son absence, avait mangé la seconde perdrix.

(Conté par M. Didier, instituteur en retraite.)