Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/270

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Mets un de tes chers bras au cou de ton ami ;
Traversons, enlacés, le village endormi ;
Et, comme nous voulons, dans la campagne verte,

Dès l’aurore, demain, reprendre notre vol,
Nous laisserons, ce soir, la fenêtre entr’ouverte ;
Pour être réveillés au chant du rossignol !