Page:Coras - Altercacion.djvu/111

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bles, ennuis > & fâcheries parollc ticmn 4u ’ fiainte, & comme ie croi empruntée, ^cl oraisonfacreedc Dauid. disant. I ’ Je ferai éueillc, à la femblâce de toi *. f/MKmr 5urquoi, le discours de Plutarquc, phurjut, ne sçauroit être plus bcau.Certcs, dit il, qui aura fenti, tant soit peu, la nature de notre ame, & confideré en foi, le passage de cette vie à l’autre, être fait meilleur, par la mort : ou pour le moins, n’être fait pirc-.celui a certainement, pourfc préparer en af- (èurance, à la tranquilité de son efprit. & a tout contcmnement de la rtJ^que ™°rt K singulièrement s’il s’êt achcr du imrtde miné, à la bonne voie. de laquelle tedtiimi, parle Socrates, disant. qu’il i a deux r * I r 1 ’rr chemins pour les esprits, qui laiflent les étmei, ce môde.Car à ceux qui se font fouil lés, poilus, & plongés au bourbier, de vicieufevoluptéjle chemin pour aller