Page:Coras - Altercacion.djvu/199

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i84 ALTERC. D’ADRIAN ; autres)aprés auoir chafsé les Vandales, triomphé dcsParthcs, dchurc l’ou ucn trit alie, & la ville de Rome, des barbares : par le comandement mêmes de lustinien, lui furent cruellement arrachés les ïeux Sc pour recharge dc telle douleur, & fi intolér» ble peine, abandonné, Se loifsé, n poure, qu’il étoit contraint, caimandec fa vie, Se demander emmi la rue l’au t ^ m6nc, auxpaffans, .Ccqu’étant Vni Zp, ", ’". limn notre lustinien rcftc noté d cnuie, Se tXZZ ingratitudeinexcufable . mais par la Uuryxiq. Icâiire dcsparergues d’Alciaf, cxccl rtfcenJnUe, thre^oU- lent lurifconfultc . Sc feule lumière dc nous ans(duqucl en passant, i’ofc bien écrire, cc qu’Aristote disoit dc Platon. TaUm nuüaferentfêcUfutur a ~virum.) Le Lcdeur connoîtra que c’êt vne fa ble, qucVülatcran, Crinit, Se Pontâ, sans pierre CnnitdH