Page:Coras - Altercacion.djvu/292

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Pidor) d bon droit appelés, Dieux. mêmes que leursOrdonnanccs, & : iugemcns, nc déuoioiét aucunement, dc l’équité, ni dc la iufticc. & le peuple se contenoit naturelle mét, cn intégrité • retenant la foi, Sc reditude. non point de crainte, qu’il eût d’ctre puni, ou vcgéjdcfonfupéricur : mais de fa propre volonté. la bonté gouvemoit, les peuples. Sc le droit, les Princes’. Cicéron aufsi, Seraius, Sc Ladancc, écriuent. que les premiers Rois adminiftrérct fi iuftcmét, qu’ils tirèrent tout le peuple encore rudc, & fimplcjcn admiracion d’eux, iufques ^ sxtumn d les éftimer Dieux : & pour tels, les honorer‘.Et voila pourquoi Xéno- «xtureda phon dit, que les plus anciens Rois appelés Saturncs, bâtirent les villes, & afleblércnt les peuples.& par ainsi AU Hure u qu’il n’en i eut pas vn fcul, mais furet