Page:Coras - Altercacion.djvu/60

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Ëtaùqucls, comme Saint Cypriaa écrit, l homme êt tué, pour donner plaisir à l’autre. & par même raison, Moitonid. les Monoraachies, c et à dire singuliers combats, qui se font d’homme, à homme, en camp cloz, ou autrement . ne font point rcceus, par noz Canôs. bien qu’on prctcxc, quelque iuftc qucrélc . car ce fcroit, tenter, r ■r^ • I * f • «1 G/non ma, »*mi. Dicuj. & bien que le ieune Dauid, nomdchUit au vieux testament, soit grandement 2 u VJ !/, loué, d’auoir en pareil côflift, meur- ^ Gtiidih, tri Goliath Phyliftin . toutefois, la Ah iAa nouuellc Loi, à grande raison, ne l’a point voulu aprouuer, aux autres. Mais rcuenons, àEpiftctc.qui dit, vn Gladiateur, être vn meurtrier, sans crime. ce qui êt véritable. car il ne cherche, (comme Ciccrô cnfeigne, écriuâcà Cafsius^)qu a meurtrir, son aduerfaires. ôc l’aiant tué, en reporte