Page:Coras - Altercacion.djvu/81

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tes, & difficiles. partant qu’il êt mal aisé, que celui qui pourchalTc dignités, ou biens de cc monde, trop cupidemcnt, ne faffe tort à quelqu’un, bc souuentefois à foi mêmes. Ciceron aufsi, appelle I’ambicion Sc eu- ’ pidité, chose du tout misérable, Sc rfo Platon, parlant des offcts.’ richesses, a bien osé écrire, qu’il êt impossible, quc les riches soient gens pUon AU de bien*.mêmcment disoit Menanuure q.iet jgf çjj Cgg comcdics.s’Üs ont foudai-, -, r totx, . /Y’ Bitbesjou, nement, assemblé les richesses. dAmm». Nunquam yir, diues eunftt cita, Plutarque récite, qu’un iour fut répondu à Sylla, qui se vantoit, de fa fortune. Cowwf»f peuxtu ctre homme de bien, pojfedant tant de biens, yeu que ton pere plmarque ne te Idijft rien i ? Il i a CU aufsi le tcmS pafsé, vnproucrbe, quc S.Hierome approuue comme véritable.Lr Riche